Après les créations des parfums et bougies en lien avec la musique, voici les fragrances reliant un lieu et son évocation olfactive.
Dans ces parfums il ne s’agit pas de recréer ce que l’on sent réellement dans tel ou tel château, mais de traduire en odeur l’ambiance, l’atmosphère du lieu.
Cette proposition peut sembler singulière. Elle me semble pourtant tout à fait naturelle, instinctive. Voilà comment elle s’élabore. Tout d’abord, j’évite de réfléchir de façon cérébrale et je me laisse saisir par l’endroit, par sa spécificité, je me laisse émerveiller, et je laisse mes sens dialoguer.
Sons, odeurs, goûts, touchers, tout est mêlé et indissociable dans ce ressenti. L’étape suivante consiste a faire entrer ces impressions et sensations très archaïques dans le cadre du langage, des mots. Il s’agit de recueillir verbalement le fruit de ce brassage d’impressions. Et c’est fait. L’odeur est là. Il n’y a plus qu’à doser les différentes fragrances pour retraduire l’impression olfactive que j’avais en tête.
Pour le Plessis Bourré, c’était simple: tout d’abord sur ce plateau il y a de l’air, du vent, un son de flûte et de roseaux, comme ces tiges creuses de bambous qui se choquent les unes aux autres; odeurs de vétiver et de feuillage. Il y a l’eau aussi, calme, accessible, mystérieuse, de ces douves paisibles devenues un étang gracieux. Là aussi le son est léger, fluté, aigu, vert, s’approchant de la bergamote. Et posé sur l’eau, comme la brume du matin lorsque la journée sera belle: le château de tuffeau blanc. Les formes du château évoquent le Moyen Âge, mais les larges fenêtres ne le protègent pas des ennemis, la guerre semble abolie; le Plessis-Bourré c’est le château de la paix possible. Odeurs réconfortantes, blanches, de linge frais et de fleurs de coton. Évocation féminine aussi, c’est blanc, doux, gracieux, comme une colombe: odeurs de rose et de violette, la dame est belle et un peu lointaine cependant. Mystère de ces pierres, de ces contours qui vacillent dans l’eau et vibrent dans l’espace, mystère de ces boiseries et cabinet d’apothicaire, de ces livres anciens au cuir lustré, odeurs chaudes et sensuelles de bois et d’encens.
Cette fragrance originale, élégante et évocatrice est également créée à partir d’ingrédients éthiques et sains: cire d’abeilles des Pays de la Loire, colza européen et parfums de Grasse. Tous ces ingrédients ont été rigoureusement sélectionnés pour leur absence de substances nocives (CMR et phtalates) et leur qualité.
Il ne vous reste plus qu’à retrouver cette odeur unique dans ce lieu magique et magnifique qu’est le château du Plessis-Bourré!
Dans ces parfums il ne s’agit pas de recréer ce que l’on sent réellement dans tel ou tel château, mais de traduire en odeur l’ambiance, l’atmosphère du lieu.
Cette proposition peut sembler singulière. Elle me semble pourtant tout à fait naturelle, instinctive. Voilà comment elle s’élabore. Tout d’abord, j’évite de réfléchir de façon cérébrale et je me laisse saisir par l’endroit, par sa spécificité, je me laisse émerveiller, et je laisse mes sens dialoguer.
Sons, odeurs, goûts, touchers, tout est mêlé et indissociable dans ce ressenti. L’étape suivante consiste a faire entrer ces impressions et sensations très archaïques dans le cadre du langage, des mots. Il s’agit de recueillir verbalement le fruit de ce brassage d’impressions. Et c’est fait. L’odeur est là. Il n’y a plus qu’à doser les différentes fragrances pour retraduire l’impression olfactive que j’avais en tête.
Pour le Plessis Bourré, c’était simple: tout d’abord sur ce plateau il y a de l’air, du vent, un son de flûte et de roseaux, comme ces tiges creuses de bambous qui se choquent les unes aux autres; odeurs de vétiver et de feuillage. Il y a l’eau aussi, calme, accessible, mystérieuse, de ces douves paisibles devenues un étang gracieux. Là aussi le son est léger, fluté, aigu, vert, s’approchant de la bergamote. Et posé sur l’eau, comme la brume du matin lorsque la journée sera belle: le château de tuffeau blanc. Les formes du château évoquent le Moyen Âge, mais les larges fenêtres ne le protègent pas des ennemis, la guerre semble abolie; le Plessis-Bourré c’est le château de la paix possible. Odeurs réconfortantes, blanches, de linge frais et de fleurs de coton. Évocation féminine aussi, c’est blanc, doux, gracieux, comme une colombe: odeurs de rose et de violette, la dame est belle et un peu lointaine cependant. Mystère de ces pierres, de ces contours qui vacillent dans l’eau et vibrent dans l’espace, mystère de ces boiseries et cabinet d’apothicaire, de ces livres anciens au cuir lustré, odeurs chaudes et sensuelles de bois et d’encens.
Cette fragrance originale, élégante et évocatrice est également créée à partir d’ingrédients éthiques et sains: cire d’abeilles des Pays de la Loire, colza européen et parfums de Grasse. Tous ces ingrédients ont été rigoureusement sélectionnés pour leur absence de substances nocives (CMR et phtalates) et leur qualité.
Il ne vous reste plus qu’à retrouver cette odeur unique dans ce lieu magique et magnifique qu’est le château du Plessis-Bourré!